Paresse ? Mais, ce n’est pas un maux !
Si tu trouves une douce prêtresse
Ce fléau tu trouveras beau
Si paresse rime avec caresse
De la paresse je prends ma part
Travailler, quelle foutaise !
Je dors aux anges, je fais du lard
Quel fainéant ? J’en suis fort aise !
Paresse, pour essentiel
Qui ne la vit, trop vite en meurt
Paresse, voir en bleu le ciel
tenter d’étreindre le bonheur
Regarde ! C’est le coucou qui passe
Secondes et minutes s’égrainent
Pour ceux qui renoncent puis trépassent
Bien loin, au-delà de la peine
Ensemble, chantons la paresse
l’ivre honneur du ne rien faire
On a tout le temps, rien ne presse
Un œil fermé et l’autre ouvert…
Ouf ! Voici la fin du poème
Il faut maintenant se reposer
Retrouver son âme de bohême
Enfin les armes déposer
La paresse, paress, pares, pare, par, pa, p…